Non, non, non, ce Gif n’a aucun rapport avec cette newsletter ou avec le climat social dans la recherche actuellement. Non, non, non. |
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Tout dans le calendrier de la loi et celle de la mobilisation converge vers ce rendez-vous où facs et labos sont appelés à s’arrêter. Côté syndicats, il ne manque personne à l’appel. Un front syndical (Sgen CFDT, Fage, SNPTES, Sup Recherche, Unsa…) appelle à une journée de grève le 05 mars mais pas au retrait pur et simple de la Loi recherche comme d’autres (CGT, SNCS, FO, Sud, SNCS…) ainsi que le Collectif facs et labos en lutte, qui annonce une manifestation le même jour à 14h en point d’orgue. Frédérique Vidal égrène les annonces. Après avoir rencontré en petit comité les directeurs de recherche du CNRS à Paris, à Grenoble, puis à Marseille à la Cité de l’innovation ainsi que les chercheurs en sciences humaines et sociales, à qui elle a fait quelques annonces ad hoc, la ministre lève le voile très progressivement sur “son” projet de loi, qui attend toujours d’être présenté au Conseil des ministres. |
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Et la réponse est : depuis le 1er mars dernier. Quelque soit son nom, le “contrat de projet scientifique” ou plus prosaïquement “contrat de chantier” (même si la ministre n’aime pas le terme) est officiellement en place depuis sa parution au Journal officiel dans les instituts de recherche (certains pouvaient déjà y avoir recours), les universités, etc… Bref toute la fonction publique. Voici déjà les grandes lignes de cette disposition : – Le contrat a une durée maximale de six ans ; – Il peut être rompu par l’employeur après un an si le projet ne peut se réaliser ou est atteint ; – En cas de rupture, une indemnité correspondant à 10% des rémunérations totales est versée. Et si vous voulez relire les deux premiers volets de notre enquête “Sauvadet&Moi”, les voici : Le grand gâchis et La parenthèse enchantée. |