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Des primes, des primes


Dans le respect du protocole (sanitaire)
L’accord sur les revalorisations passe de justesse mais passe quand même.

Majorité qualifiée. Après des semaines et de nombreux aller-retours, l’accord de revalorisation des rémunérations et des carrières a été signé le 12 octobre dernier par trois syndicats côtés fonctionnaires : le SNPTES, le SGEN-CFDT et l’UNSA (cliquez pour leurs réactions respectives). Ils y reconnaissent quelques avancées significatives.

 << Lire l’accord en intégralité, c’est par ici >> 

Sonnant et trébuchant. La mesure la plus spectaculaire — et donc la plus mise en avant — est l’augmentation très significative de la prime de recherche pour les chercheurs et enseignants-chercheurs, qui passera respectivement de 990 et 1 260 euros par an aujourd’hui à 6400 euros en moyenne en 2027, avec une montée en charge calquée sur les milliards de la LPR égrenés jusqu’en 2030.

Re-py-ra-mi-da-ge. Sous ce terme se cache une autre mesure concernant le nombre de professeurs d’université, qui passeront de 15 200 postes à 18 000. Trois voies pourront être utilisées, comme l’écrivait le ministère le 05 octobre : des recrutements de maîtres de conférence expérimentés, des concours d’établissement ou… les très inflammables chaires de professeur junior (CPJ).

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