A noter pour votre prochaine pause en télétravail. Orbduino est un jeu collaboratif qui consiste à contrôler en ligne un robot qui peut prendre des objets autour de lui. Petit indice : si vous touchez la cible, c’est jackpot ! ![]() |
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A noter pour votre prochaine pause en télétravail. Orbduino est un jeu collaboratif qui consiste à contrôler en ligne un robot qui peut prendre des objets autour de lui. Petit indice : si vous touchez la cible, c’est jackpot ! ![]() |
Cercle vertueux. Amis programmateurs (du dimanche ou non), vous diffusez votre code en open source ? C’est tout à votre honneur ! Pour qu’il soit cité plus facilement, Github vous propose d’ajouter un fichier dédié (CITATION.cff de son petit nom) afin de générer automatiquement des références en style APA ou BibTeX. Vous pouvez également le déposer sur Zenodo, comme l’explique le blog Open Science de l’Institut Pasteur. |
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Evaluer les doctorants à mi-parcours, renforcer les comités de suivi ou la sélection à l’entrée… Les solutions ne manquent pas. Excellence en péril. Donne-t-on parfois le doctorat à des étudiants qui n’ont pas le niveau ? Cette question entêtante était en toile de fond de la table ronde qui s’est tenue la semaine passée lors de la Journée nationale du doctorat. Mais une fois la question posée, difficile de trouver LA solution. De nouveaux textes encadrant le doctorat pour septembre 2022 Quelles mesures ? L’objectif affiché du ministère, représenté par Sébastien Chevalier, professeur en sciences des matériaux, est simple : faire évoluer les règles encadrant le doctorat datant de 2016 en proposant un texte au printemps 2022, qui serait applicable dès la rentrée suivante. Oral préventif. L’idée d’une pré-soutenance à huis clos est avancée par Fabienne Blaise, rectrice déléguée à la région Grand Est. Cette pré-soutenance, qui existe en Suisse — par exemple à l’université de Lausanne — ou en Belgique, permettrait d’évaluer de manière plus approfondie les candidats par rapport à la soutenance actuelle, se déroulant devant famille et amis. Doit-on « réorienter » le doctorant après deux ans et demi de thèse ? Complaisants. Sébastien Chevalier est également en faveur d’un passage devant le jury vers la fin de la thèse et avant la soutenance « pour que puisse se tenir une discussion scientifique ». Il a d’ailleurs avoué lui-même avoir participé à deux jurys (sur une cinquantaine dans sa carrière), où le candidat n’était pas très bon… mais a pourtant obtenu son doctorat. Bon et mauvais grains. De fait, ce type de pré-soutenance existe déjà dans quelques universités françaises, avec des objectifs affichés plus ou moins bienveillants. Si Panthéon-Sorbonne assure vouloir encourager le doctorant à terminer sa thèse dans les meilleures conditions, un des objets de la pré-soutenance à Paris Dauphine est de dissuader un doctorant qui n’aurait pas le niveau de continuer sa thèse. Une question de tempo. Ces pré-soutenances seraient mises sur pied en fin de thèse, au plus tard trois ou six mois avant la soutenance. La question est la suivante : est-il envisageable de réorienter le doctorant si tard ? Sébastien Chevalier se veut rassurant : « On ne va pas arrêter une thèse après 18 mois ou plus ». Il prône donc un renforcement des comités de suivi. Dès l’entrée. L’idée ne fait néanmoins pas l’unanimité. Sacha Kallenbach, autrice du récent rapport de l’IGESR sur le doctorat s’oppose elle à une soutenance en deux étapes et défend plutôt une procédure de recrutement basée sur l’autoévaluation, en plus de l’évaluation du futur directeur de thèse : si l’étudiant n’a pas les aptitudes, il serait amené à le comprendre dès le départ. L’encadrant a souvent sa part de responsabilité lorsque la qualité de la thèse n’est pas au rendez-vous La méthode avant tout. Enfin, comment assurer la qualité des thèses avec ce carcan des trois ans du contrat doctoral qui ne convient pas dans tous les cas, notamment en SHS ? Pour Sacha Kallenbach, le volume de la production scientifique ne devrait pas être un critère d’obtention du doctorat : l’évaluation des compétences devrait primer. Et les encadrants ? La Confédération des jeunes chercheurs a rappelé durant cette journée que l’encadrant a souvent sa part de responsabilité en cas de souci. Une formation des futurs directeurs de thèse au moment de l’HDR est dans les tuyaux du ministère. Mais pour Fabienne Blaise, cette formation devrait être proposée à tous, avant ou après l’HDR, et de manière continue pendant toute la carrière du chercheur. |
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L’économiste Timothée Parrique a consacré sa thèse au concept de décroissance et à l’élaboration de scénarios pour sa mise en application. Qu’est-ce que la décroissance ? La décroissance n’est pas l’inverse de la croissance, ce n’est pas la récession ou la dépression qui se caractérisent par un PIB négatif. La décroissance est la réduction planifiée de la production et de consommation. C’est la réponse la plus efficace à la crise climatique : réduire autant que possible les activités les plus polluantes et concentrer nos efforts pour verdir ce qui ne peut pas être réduit. Au lieu d’attendre un découplage de la croissance et des pressions environnementales qui peine à se matérialiser, soyons plus ambitieux et tâchons de réorganiser l’économie afin qu’elle puisse fonctionner – et prospérer – sans croissance. Quelles différences dans les modèles quand on étudie les scénarios de décroissance ? En économique écologique, nos modèles sont inspirés par les travaux de Nicholas Georgescu-Roegen qui a été le premier à repenser la science économique à partir des lois de la physique et de la biologie. Certains économistes diront que l’énergie a peu d’importance car ce secteur ne représente que quelques points de PIB ; mais je vous mets au défi d’imaginer ne serait-ce qu’une seule activité économique qui pourrait fonctionner sans énergie (spoiler alert : il n’y en a aucune). L’économie écologique chamboule la hiérarchie des questions de recherche et améliore la puissance analytique des modèles économiques pour permettre d’explorer des scénarios beaucoup plus précis. Pour étudier des scénarios de décroissance, il faut revoir nos modèles pour y intégrer les écosystèmes mais aussi des phénomènes sociaux comme la convivialité, les inégalités, et la qualité des institutions. Par quels indicateurs remplacer la croissance ? L’économie, ce n’est pas du Tetris ; arrêtons de penser qu’on peut gérer une économie moderne avec un seul bouton. Nous avons besoin d’un tableau de bord qui présente une diversité d’indicateurs économiques, sociaux, et environnementaux. Celui que la Nouvelle-Zélande a mis en place depuis 2019 contient 65 indicateurs, à la fois sur le bien-être présent (coût du logement, sécurité, temps disponible, santé, pauvreté etc.) et le bien-être futur (gestion des déchets, espérance de vie, discrimination, investissement, valeur du patrimoine naturel, etc.). Il y a trente ans, les indicateurs n’existaient pas et il y avait très peu de données. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le sujet de la décroissance est-il en train de devenir populaire ? La pandémie a vu exploser l’intérêt pour la décroissance. En 2016 quand j’ai démarré ma thèse, j’ai dû convaincre mes directrices de thèse de travailler sur la décroissance, un sujet qui n’intéressait pas grand monde. Et aujourd’hui, un an après sa publication, mon manuscrit de thèse a été téléchargé 45 000 fois et des éditeurs m’ont contacté pour publier un livre sur la décroissance ! C’est le rêve de tout doctorant : que tout le monde s’intéresse à son sujet de recherche. Mais c’est aussi une lourde responsabilité ; il faut maintenant expliquer et débattre, même si c’est difficile, surtout sur un sujet aussi controversé que la décroissance. Quand on parle des problématiques liées à l’urgence environnementale, cela ne suffit pas de créer de la connaissance, il faut aussi que les scientifiques interagissent directement avec les gouvernements, les entreprises, et le public en général. |
Cela fait presque 25 ans que le Bluetooth existe. Et d’où provient son nom ? Du roi scandinave Harald Ier, amateur de baies rouges et porteur d’une mauvaise dentition… Merci à Tech Trash. ![]() |
![]() La route sans fin |
La croissance économique peut-elle être continue ? Depuis les débuts de la discipline, la question a divisé et n’est toujours pas résolue. Péché originel. En pleine révolution industrielle, le désaccord régnait déjà entre les économistes de l’école classique. Si la plupart pensaient que l’économie devait converger vers un état stationnaire, notamment John Stuart Mill, d’autres, comme Jean-Baptiste Say, suggéraient l’idée tentante de croissance infinie basées sur des ressources “gratuites”, donc illimitées. Keynésianisme. Les économistes sont appelés en renfort durant la crise des années 1930. C’est là que naît le concept moderne de produit intérieur brut (PIB), nouvelle mesure de la croissance. Mais ce n’est qu’après la seconde guerre mondiale qu’elle s’impose dans les politiques publiques pour stabiliser une économie “sur le fil du rasoir”. Flower Power. L’idée que croissance et progrès sont intimement liés se renforce durant les Trente Glorieuses. Dans les années 1970, une critique écologiste apparaît avec la prise de conscience des conséquences désastreuses de la croissance, mais ne prend pas parmi les économistes, du moins dans le courant majoritaire, l’école néoclassique. Newton vs Clausius. Une poignée d’économistes regarde tout de même du côté des sciences physiques : si les modèles de croissance néoclassique se basent sur la réversibilité des processus, découlant de la mécanique de Newton, de nouvelles voix introduisent la notion d’irréversibilité, provenant elle de la thermodynamique et du concept d’entropie. En d’autres termes, on brûle du pétrole, mais on ne peut pas le “débrûler”. Retour en grâce. Après avoir été délaissée, la recherche sur la croissance redevient active à l’aube de la crise de 2007. Les études se focalisent aujourd’hui sur les liens entre la croissance et certains paramètres comme la démographie. En parallèle des simulations, les économistes sont de plus en plus incités à confronter leurs modèles aux données, s’appuyant sur des expériences grandeur nature de politiques économiques, méthodes développées par le dernier prix Nobel en date. Controverse scientifique. Génératrice d’emploi pour certains économistes, cette “agitation économique” qu’est la croissance ne représente rien pour d’autres – les hétérodoxes. La croissance ne dit en effet rien du bien-être humain ou de la santé des écosystèmes. C’est pourquoi le besoin d’interdisciplinarité avec la sociologie, l’histoire, la physique ou la biologie est aujourd’hui revendiqué. |
Les dogmes de l’innovation Cela ne vous aura pas échappé, l’innovation – qui annule et remplace le terme de progrès technique – est promue par les politiques, notamment auprès de vous chercheurs. Pourquoi cette obsession ? Selon la chercheuse en économie de l’innovation Marie Coris, c’est « parce qu’il semble acquis que l’innovation porte la dynamique du capitalisme » notamment depuis les travaux de Joseph Schumpeter. Ses enseignements « sont toujours éclairants pour comprendre les cycles et les crises économiques, pas forcément pour orienter les politiques », explique-t-elle. Pour le biochimiste Hervé Philippe, c’est plus largement l’acceptation d’une croissance infinie de savoir qui est à l’origine de notre modèle de société basé sur une croissance économique sans limite. |
Croissance ou non ? Les grands noms Simon Kuznets Inventeur du concept moderne de produit intérieur brut (PIB) à la demande du Congrès américain dans les années 1930. Retravaillé par John Keynes, il a pour objectif de mesurer les effets de la Grande Dépression sur l’économie. Robert Solow Prix Nobel en 1987 pour son modèle néoclassique de croissance économique où est mis en avant le rôle du progrès technique. Développé en 1956, le modèle de Solow restera dominant jusque dans les années 1990. Nicholas Georgescu-Roegen Mathématicien et économiste, il veut replacer l’économie sous l’égide des lois physiques et biologiques. Considéré comme le père de l’économie écologiste dans les années 1970, même s’il n’a jamais parlé de décroissance. Donella Meadows Co-autrice du rapport Meadows pour le club de Rome en 1970, c’est la première à pointer du doigt les conséquences désastreuses de la croissance économique pour l’environnement et à recommander une stabilisation de l’économie. |
Une photo du soleil à 230 millions de pixels, c’est le résultat du méticuleux travail de “l’astrophotographe” Andrew McCarthy, qui a tout de même pris plus de 100 000 clichés ! Crédit photo Andrew MacCarthy. ![]() |
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Chercheurs en sciences du climat, ils se sont longtemps astreints à une stricte neutralité. Ils questionnent aujourd’hui ce positionnement. Science first. La stricte neutralité, c’est la posture à laquelle les chercheurs en sciences du climat s’astreignent traditionnellement lorsqu’ils communiquent vers le grand public. Il s’agit de transmettre les connaissances dans son domaine d’expertise, de réfuter les fake news, de présenter en toute transparence les incertitudes et les limites de nos recherches. Si diffuser les connaissances sur le changement climatique, comme le font par exemple le train du climat ou l’OCE, peut déjà être considéré comme une forme d’engagement, le discours reste factuel. C’est la crédibilité, la confiance entre chercheurs et citoyens qui est en jeu. Légitime ou pas ? La dimension multidisciplinaire des sciences du climat est une difficulté. Celles-ci font intervenir des domaines très variés de la physique, de la chimie, de la biologie… Parler du changement climatique nécessite donc de sortir de son domaine d’expertise. Quelle légitimité a-t-on alors ? « Une grande force de notre discipline est l’existence du GIEC », explique Jean-Louis Dufresne, chercheur au LMD : « C’est une base pour diffuser des connaissances larges, issues d’un consensus scientifique, avec un discours argumenté et construit. ». “Science first”, c’est d’ailleurs aussi la posture du GIEC. Mais face à l’urgence climatique, cette posture est-elle encore tenable? Un problème trop grave. Un élément déclencheur est souvent à l’origine de ce questionnement et d’un éventuel changement de posture, comme la tribune prônant la désobéissance civile face à l’inaction climatique, la lecture du livre « Why do we disagree on climate change », ou la parution du 6e rapport du GIEC. Derrière les progrès sur la quantification et la compréhension physique du changement climatique, l’essentiel est bien connu. Tout comme la Terre est ronde, le climat se réchauffe, c’est maintenant acquis. Faut-il continuer à le rappeler ou agir? « Le problème est trop grave pour se contenter de faire de la diffusion des sciences », affirme François Dulac, chercheur au LSCE. Des solutions… Le déclencheur peut aussi tout simplement être les réactions du public quand on leur expose les résultats du GIEC : « C’est trop déprimant, les gens veulent savoir ce qu’il est encore possible de faire », dit François Dulac. Les questions du grand public dévient très rapidement vers les solutions. La posture de neutralité apparaît alors illusoire. “Même si le GIEC se veut policy-relevant et non policy-prescriptive, quand il présente des scénarios insoutenables pour les écosystèmes et les communautés, c’est implicitement prescriptif », remarque Agnès Ducharne, chercheuse au METIS. Mais lesquelles ? « Tout le monde est d’accord pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, le problème c’est comment », dit Jean-Louis Dufresne. Ce problème dépasse alors le cadre scientifique. Il fait intervenir des considérations économiques et sociales. La dimension systémique du problème ne peut pas être ignorée : le changement climatique est un problème parmi d’autres, comme la réduction de la biodiversité, la pollution, les inégalités sociales. « Le changement climatique est une opportunité pour réfléchir au projet de société », dit Eric Guilyardi, chercheur au LOCEAN. Et là, les chercheurs sur le climat n’ont pas toute l’expertise. Pire, la réponse n’est pas que scientifique : elle dépend de nos valeurs personnelles. Produire des solutions nécessite une co-construction entre experts de domaines variés et acteurs de la société, comme par exemple dans le projet Acclimaterra.« On ne peut plus faire l’économie de cette réflexion collective » Alors, quelle posture ? Proposer des solutions, certains chercheurs se l’interdisent, pointant des questions de légitimité, de pertinence ou de crédibilité. D’autres se l’autorisent, à condition de préciser qu’ils parlent en tant que citoyen, pour éviter d’abuser de leur position de scientifique. Certains s’impliquent dans des initiatives militantes, comme le collectif Labos1point5. Mais clarifier son positionnement est une nécessité sur laquelle tout le monde s’accorde : « qui est-on, d’où vient-on, quelles sont nos motivations? », précise Eric Guilyardi. Comment choisir sa posture ? Ce dernier pointe la nécessité pour les chercheurs d’acquérir une culture sur les liens sciences-société : « On ne peut plus faire l’économie de cette réflexion collective ». Camille Risi |
On ne sait pas trop où classer cette info mais on vous la livre : l’Arabie saoudite est en train de construire un complexe hôtelier géant en forme de plateforme pétrolière. (Via Engadget) ![]() |
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Frédérique Vidal a annoncé le 6 juillet dernier le lancement du 2e plan national pour la science ouverte (PNSO), avec un triplement des budgets sur la période. Marin Dacos, le « monsieur Open science » au ministère de la Recherche, fait le point pour TMN. Comment évolue le budget de la science ouverte avec le nouveau plan ? La transformation induite par la science ouverte passe par tous les étages de la machine et a commencé par l’édition, avec le Fonds national pour la science ouverte. Cette ambition de porter le budget à 15 millions d’euros par an représente bien plus : elle permettra par effet de levier la percolation de la science ouverte dans les usages et les pratiques. Cette somme ne finance donc pas la science ouverte stricto sensu mais tout simplement la transformation d’un système obsolète, qui n’est que l’ombre portée de ce qui a été inventé au 17e siècle, réinventé dans les années 1950 et 60… et qui n’a pas changé depuis. Pour quelle raison ? Nous vivons dans un système d’édition et de gestion des données obsolète car pensé pour le papier. Nous sommes à l’heure du numérique et du Web, le paradigme a donc changé mais nous avons souvent continué à travailler comme avant. C’est logique, d’une certaine manière : le système a tendance à poursuivre sur sa lancée. Quand les chemins de fer ont été inventés, on a commencé par mettre des calèches sur les rails. Il faut maintenant passer à autre chose. La science ouverte est-elle acceptée par tous les chercheurs ? Il y a un avis par chercheur sur le sujet de la science ouverte ou au moins un avis par famille disciplinaire : pour certains l’expression “science ouverte” est déjà un pléonasme, d’autres découvrent la science ouverte qui pourrait en réalité transformer leur métier si il était appliqué. C’est dans leur intérêt : une publication ouverte est une publication plus visible, or la mission du chercheur est de faire circuler le savoir. Quand on a goûté à l’accès ouvert, on ne revient plus en arrière. Les publications sont une chose, les données en sont une autre… Peu de disciplines partagent nativement les données, comme la sismologie, l’astronomie ou la génétique. Dans d’autres disciplines, elles ne sont pas pensées comme partageables au-delà du chercheur ou du labo. On ne peut tout simplement pas claquer des doigts et demander à tous d’ouvrir ses données. C’est une des avancées du plan : proposer des chapitres d’appropriation thématiques. Nous devons maintenant travailler avec les établissements qui ont signé Dora [mais qui est Dora ?, NDLR] pour le rendre concret, sans avoir recours à des obligations ou à des décisions descendantes. |