On vous signale la mise en ligne d’une base de données baptisée Transpose rassemblant les politiques de peer review et le preprint de plus de 3000 revues, depuis AAS Open Research jusqu’à Zoosystematics and Evolution. |
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On vous signale la mise en ligne d’une base de données baptisée Transpose rassemblant les politiques de peer review et le preprint de plus de 3000 revues, depuis AAS Open Research jusqu’à Zoosystematics and Evolution. |
Si vous êtes un utilisateur de Zotero, cela peut vous intéresser. Cet outil de gestion bibliographique (entre autres) gratuit intègre en effet maintenant en bêta la base de Retraction watch (à l’interface native pas très chaleureuse), comportant environ 19 000 cas, qui s’afficheront directement dans votre interface si vous les avez collecté ou, à plus forte raison, si vous allez les citer. |
C’est une des infos les plus commentées de la semaine : la création d’un serveur de preprint spécialement pensé pour les publis de recherche clinique, sous le nom de medRxiv, proche cousin de bioXriv et arXiv, lancé notamment par le British medical journal. Si l’idée n’est pas neuve, sa gestation a pris quelques années. La notice de medXRiv précise que les papiers seront tout de même visés avant publication en cas de danger pour la santé publique, notamment. |
Les pratiques évoluent moins vite que les discours en matière d’Open science (OS). C’est notamment une question de génération, les jeunes convaincus se heurtant parfois aux habitudes de leurs aînés. De quoi se décourager ? Pas selon PLOS Biology qui énumère dans un papier les avantages à adopter la démarche open mais en pointe aussi les limites. Être open, c’est donc, il est vrai : Moins de flexibilité dans les protocoles, Plus chronophage (pour l’instant), Moins de publis (et donc moins de citations). Mais, considérant que l’OS est une vague qu’il vaut mieux prendre avant qu’elle ne déferle, les auteurs parient que : Vos résultats seront plus sûrs, Votre travail sera nativement diffusable, Votre carrière en bénéficiera (argument massue). |
Renater, c’est le fournisseur d’accès internet (FAI) de beaucoup de chercheurs en France. Sachez que ce FAI pas comme les autres, puisque c’est le vôtre, vous propose dorénavant un service équivalent, après connexion et avec vos identifiants, à celui de Wetransfer pour l’envoi de fichiers lourds, voire très lourds : jusqu’à 100 Go. Attention toutefois, le lien de partage expire au bout de trois semaines, ce qui pourra être un peu court pour certaines utilisations. Renater assure néanmoins avoir mis à l’étude l’extension de cette durée. |
La beauté intérieure d’une recherche doit se voir à l’extérieur. En effet, pour qu’une publi passe avec les honneurs l’étape du peer reviewing, faire un effort sur la présentation et la clarté ne peut qu’être bénéfique. Ce papier de Nature liste une quinzaine de bonnes pratiques à suivre pour rendre la tâche du reviewer plus agréable. Même si certains de ces conseils sont plus adaptés à la discipline de l’auteur (la climatologie), la plupart sont génériques, comme l’utilisation d’un grand interlignage, des polices de bonne taille mais aussi éviter De Trop Nombreuses Abréviations (DTNAb) ou les formules toutes faites, telles que “changement de paradigme”, usées jusqu’à la corde. Ce qui, en soit, serait déjà un changement de paradigme. |
La recherche, c’est la guerre des cerveaux. Pour tenter de contrecarrer cette compétition parfois aliénante, une publi bien intentionnée parue dans PLoS computational biology, compile un “top ten” des bonnes pratiques destiné plus particulièrement aux directeurs de labo pour que la vie y soit plus… vivable précisément. Pêle-mêle : laisser les collaborateurs fixer leurs horaires, montrer de la gratitude, respecter les plages de vie privée mais aussi déstigmatiser l’échec (pourquoi ne pas même s’en féliciter parfois ?) et, bien sûr célébrer le succès. |
Qui d’entre vous a déjà utilisé Typeset.io ? Rentrez votre texte, rentrez vos citations dans un formulaire en ligne, cliquez… puis envoyez d’un seul geste votre future publication, formatée comme ils la souhaitent, à une flopée d’éditeurs scientifiques. La promesse est alléchante. Créée en 2014, Typeset.io, qui semble mieux implantée dans la recherche anglo-saxonne qu’hexagonale, promet des exports compatibles avec plus de “100 000 revues”, le tout à des prix somme toute modiques. |